narcéïne
Pelletier,
an.
de
ph.
[annales
de
physique]
50.
251.
traiter
opium
par
l’eau
froide,
évaporer,
puis
redissoudre
par
eau
;
il
reste
beaucoup
de
narcotine
(Derosne)
mais
la
plus
grande
partie
reste
dans
le
marc.
La
dissolution
aqueuse
chauffée
à
100°
et
traitée
par
h
[hydrogène],
laisse
déposer
par
refroidisst
[refroidissement]
la
morphine
;
mais
celle
ci
est
mélangée
de
narcotine
qu’on
peut
enlever
par
l’éther,
ou
mieux
en
saturant
la
morphine
avec
U
:
le
sel
crystallise
bien
et
se
sépare
de
la
narcotine.
La
liqueur
d’où
la
morphine
a
été
séparée
est
traitée
par
l’eau
de
baryte
:
il
se
fait
un
pté
[précipité]
de
méconate
de
barite
qu’on
décompose
par
l’U.
on
ajoute
à
la
liqueur
du
cte
d’h
[carbonate
d’hydrogène]
pour
précipiter
l’excès
de
baryte
et
on
fait
bouillir
pour
chasser
l’excès.
on
évapore
en
syrop
épais
et
on
abandonne
plusieurs
jours
dans
un
lieu
frais
;
elle
se
prend
en
une
masse
pulpeuse
que
l’on
exprime
fortement
entre
deux
linges.
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